Hello tout le monde!
Je voulais vous présentait le début du fluff de mon armée pour avoir vos retour dessus. C'est le tout premier que je fais donc je serais ravi d'avoir vos critiques.
Ce fluff se décompose en plusieurs parties. Chacune d'entre elles concerne une unités de mon armé et explique comment elle s'y ai retrouvé.
Je joindrais un peu plus tard les photos des unités mais je tiens à préciser que je les fais peindre (Je suis vraiment très très mauvais pour la peinture, Alex peut en témoigner, et je n'aime tout simplement pas ça).
Et maintenant, ENJOY! (ou pas)
Bjorn
Chacun d’entre eux choisi une direction différente. Leur but était simple, rallier tous ceux qui croiseraient leur chemin, ou les anéantir. Lui, avait choisi la grande toundra, se trouvant juste en dessous des terres de Norsca. Bjorn était né dans ces grandes plaines gelées, où seuls les plus forts pouvaient y vivre.
Mesurant deux bons mètres de haut et arborant une crête rousse sur le haut du crâne, il portait une armure sombre, digne des plus valeureux guerriers du chaos. Une épée, souillée par le sang, pendait sur son flanc et il tenait de sa main gauche un énorme bouclier sur lequel était minutieusement déposé la peau de son dernier adversaire. Bjorn était sans cesse poussé par le désir de faire couler le sang et ne pouvait s’empêcher de défier les guerriers qui croisaient son chemin.
Invaincu depuis des années, il avait accepté de rejoindre ce groupe atypique, en espérant pouvoir enfin trouver l’adversaire qui réussirait à l’envoyer dans l’autre monde.
Il arriva sur la toundra après quelques semaines de marche. Il ne croisa que quelques petits groupes de chasseurs, qu’il massacra sans verser la moindre goutte de sueur, et s’enfonça de plus en plus vers le nord.
Cela faisait des jours, non, des semaines peut-être, qu’il marchait dans les plaines enneigées. Plus il se rapprochait du nord et plus le temps lui paraissait incompréhensible. Il décida de s’arrêter quelques instants, pour manger quelques-unes de ses provisions, qui diminuaient dangereusement. S’était-il surestimé ? Il n’avait encore jamais autant approché les désolations du chaos. Était-il assez fort pour survivre sur ces terres ?
Un bruit le tira de ses divagations. Un bruit infime, presque inaudible. Celui du mouvement de la neige sur le sol.
Gardant dans la bouche la cuisse de lapin cru qu’il mâchouillait, il tira son épée tout en se retournant brusquement et … rien. Du blanc, et encore du blanc à perte de vue. Il resta immobile, scrutant l’horizon à la recherche du moindre mouvement, d’un indice sur la provenance de ce bruit. Devenait-il fou ? La solitude avait-elle brouillé son esprit ?
Alors qu’il commençait à douter de ses sens, une main jaillit du sol et lui attrapa la jambe droite. A peine eût-il le temps de réagir qu’une deuxième saisissait son autre jambe. Puis, deux seconde plus tard, il sentit que ses bras venaient d’être immobilisés. C’est avec surprise qu’il vit alors, tout autour de lui, des hommes sortir de la neige, vociférant et armés d’énormes fléaux. Comment pouvait-il être restés sous la neige ? Etaient-ils ici depuis longtemps ? L’avaient-ils suivi ?
Du point de vue des guerriers, la situation semblait gagnée d’avance. Pourtant leur instinct de survie leur hurlait de fuir. Une étrange aura de confiance mêlée à une promesse de mort se dégageait de Bjorn. Enfin, après tout ce temps passé à parcourir les étendues infinies de la toundra, il avait fini par trouver des hommes qui semblaient dignes d’intérêt. Il se mit alors à rire. Un rire tonitruant, un rire dément, un rire qui laissa perplexes les barbares qui l’entouraient.
Il se mit alors en mouvement. Comme s’il n’était pas entravé, il sectionna les bras au niveau des poignets qui lui retenait les jambes et se dirigea vers l’immense guerrier qui se tenait face à lui. Ceux qui étaient censés lui retenir les bras se laissèrent trainer, incrédules, avant de lâcher prise. Bjorn se jeta en avant en poussant un cri de défi. Les hommes du nord formèrent un cercle autour des deux guerriers qui se jetaient l’un sur l’autre.
Bjorn fut le premier à frapper. Le colosse qui se tenait devant lui, un homme qui le dépassait d’une bonne tête et maniant un énorme fléau, l’obligea à stopper son geste en faisant tournoyer son arme au-dessus de sa tête. Bjorn, leva son bouclier massif et bloqua le coup. Le barbare lança un violent coup de pied qui le fit reculer. Bjorn se retrouva accroupi, le bouclier levé, subissant une vague de coups dont la vitesse et la violence ne cessaient d’augmenter. Rompu aux duels, il venait de finir d’analyser son adversaire. Il compta dans sa tête. 1…2... Tout en gardant son bouclier en l’air, il pivota sur son genou avec une vitesse surhumaine. Sa lame fit un arc de cercle qui vint sectionner la jambe du géant juste en dessous de la rotule. L’homme s’écroula lourdement au sol pendant que Bjorn se relevait tout en le toisant avec un regard victorieux. Sans un bruit, le visage déformé par la douleur, l’homme du nord prit appui sur le manche de son arme pour se relever péniblement. Tenant difficilement en équilibre sur son unique jambe, il lança un regard plein de défi à Bjorn. Ce dernier hocha de la tête, c’est ce qu’il attendait d’un véritable guerrier. Il resserra la prise qu’il avait sur son épée, S’avança en regardant fixement l’homme qui se vidait de son sang, et avec un geste rapide et précis, le décapita.
Tout en se tenant au milieu d’un mélange de neige et de sang, Bjorn regarda un à un les guerriers qui formaient un cercle autour de lui. Puis, sans une parole, ils s’agenouillèrent devant celui qui avait gagné leur loyauté.
C’est à ce moment qu’il sut, ce serait eux. Bjorn avait trouvé les hommes avec lesquels il se battrait au milieu des futurs carnages qu’il accomplirait avec les autres.
Il reprit sa route, en silence, vers le sud cette fois. Là où se trouvait le point de rendez-vous.
Les barbares le suivirent.
Les photos prochainement!
Je voulais vous présentait le début du fluff de mon armée pour avoir vos retour dessus. C'est le tout premier que je fais donc je serais ravi d'avoir vos critiques.
Ce fluff se décompose en plusieurs parties. Chacune d'entre elles concerne une unités de mon armé et explique comment elle s'y ai retrouvé.
Je joindrais un peu plus tard les photos des unités mais je tiens à préciser que je les fais peindre (Je suis vraiment très très mauvais pour la peinture, Alex peut en témoigner, et je n'aime tout simplement pas ça).
Et maintenant, ENJOY! (ou pas)
Les Insoumis.
Une nuit dans les terres du nord,
Autour d’un feu crépitant,
Six hommes jurèrent de ne jamais prêter allégeance aux Dieux Sombres,
Et de semer la mort et le chaos en leurs propres noms.
Par la suite on les appela : Les Insoumis.
Une nuit dans les terres du nord,
Autour d’un feu crépitant,
Six hommes jurèrent de ne jamais prêter allégeance aux Dieux Sombres,
Et de semer la mort et le chaos en leurs propres noms.
Par la suite on les appela : Les Insoumis.
Bjorn
Chacun d’entre eux choisi une direction différente. Leur but était simple, rallier tous ceux qui croiseraient leur chemin, ou les anéantir. Lui, avait choisi la grande toundra, se trouvant juste en dessous des terres de Norsca. Bjorn était né dans ces grandes plaines gelées, où seuls les plus forts pouvaient y vivre.
Mesurant deux bons mètres de haut et arborant une crête rousse sur le haut du crâne, il portait une armure sombre, digne des plus valeureux guerriers du chaos. Une épée, souillée par le sang, pendait sur son flanc et il tenait de sa main gauche un énorme bouclier sur lequel était minutieusement déposé la peau de son dernier adversaire. Bjorn était sans cesse poussé par le désir de faire couler le sang et ne pouvait s’empêcher de défier les guerriers qui croisaient son chemin.
Invaincu depuis des années, il avait accepté de rejoindre ce groupe atypique, en espérant pouvoir enfin trouver l’adversaire qui réussirait à l’envoyer dans l’autre monde.
Il arriva sur la toundra après quelques semaines de marche. Il ne croisa que quelques petits groupes de chasseurs, qu’il massacra sans verser la moindre goutte de sueur, et s’enfonça de plus en plus vers le nord.
Cela faisait des jours, non, des semaines peut-être, qu’il marchait dans les plaines enneigées. Plus il se rapprochait du nord et plus le temps lui paraissait incompréhensible. Il décida de s’arrêter quelques instants, pour manger quelques-unes de ses provisions, qui diminuaient dangereusement. S’était-il surestimé ? Il n’avait encore jamais autant approché les désolations du chaos. Était-il assez fort pour survivre sur ces terres ?
Un bruit le tira de ses divagations. Un bruit infime, presque inaudible. Celui du mouvement de la neige sur le sol.
Gardant dans la bouche la cuisse de lapin cru qu’il mâchouillait, il tira son épée tout en se retournant brusquement et … rien. Du blanc, et encore du blanc à perte de vue. Il resta immobile, scrutant l’horizon à la recherche du moindre mouvement, d’un indice sur la provenance de ce bruit. Devenait-il fou ? La solitude avait-elle brouillé son esprit ?
Alors qu’il commençait à douter de ses sens, une main jaillit du sol et lui attrapa la jambe droite. A peine eût-il le temps de réagir qu’une deuxième saisissait son autre jambe. Puis, deux seconde plus tard, il sentit que ses bras venaient d’être immobilisés. C’est avec surprise qu’il vit alors, tout autour de lui, des hommes sortir de la neige, vociférant et armés d’énormes fléaux. Comment pouvait-il être restés sous la neige ? Etaient-ils ici depuis longtemps ? L’avaient-ils suivi ?
Du point de vue des guerriers, la situation semblait gagnée d’avance. Pourtant leur instinct de survie leur hurlait de fuir. Une étrange aura de confiance mêlée à une promesse de mort se dégageait de Bjorn. Enfin, après tout ce temps passé à parcourir les étendues infinies de la toundra, il avait fini par trouver des hommes qui semblaient dignes d’intérêt. Il se mit alors à rire. Un rire tonitruant, un rire dément, un rire qui laissa perplexes les barbares qui l’entouraient.
Il se mit alors en mouvement. Comme s’il n’était pas entravé, il sectionna les bras au niveau des poignets qui lui retenait les jambes et se dirigea vers l’immense guerrier qui se tenait face à lui. Ceux qui étaient censés lui retenir les bras se laissèrent trainer, incrédules, avant de lâcher prise. Bjorn se jeta en avant en poussant un cri de défi. Les hommes du nord formèrent un cercle autour des deux guerriers qui se jetaient l’un sur l’autre.
Bjorn fut le premier à frapper. Le colosse qui se tenait devant lui, un homme qui le dépassait d’une bonne tête et maniant un énorme fléau, l’obligea à stopper son geste en faisant tournoyer son arme au-dessus de sa tête. Bjorn, leva son bouclier massif et bloqua le coup. Le barbare lança un violent coup de pied qui le fit reculer. Bjorn se retrouva accroupi, le bouclier levé, subissant une vague de coups dont la vitesse et la violence ne cessaient d’augmenter. Rompu aux duels, il venait de finir d’analyser son adversaire. Il compta dans sa tête. 1…2... Tout en gardant son bouclier en l’air, il pivota sur son genou avec une vitesse surhumaine. Sa lame fit un arc de cercle qui vint sectionner la jambe du géant juste en dessous de la rotule. L’homme s’écroula lourdement au sol pendant que Bjorn se relevait tout en le toisant avec un regard victorieux. Sans un bruit, le visage déformé par la douleur, l’homme du nord prit appui sur le manche de son arme pour se relever péniblement. Tenant difficilement en équilibre sur son unique jambe, il lança un regard plein de défi à Bjorn. Ce dernier hocha de la tête, c’est ce qu’il attendait d’un véritable guerrier. Il resserra la prise qu’il avait sur son épée, S’avança en regardant fixement l’homme qui se vidait de son sang, et avec un geste rapide et précis, le décapita.
Tout en se tenant au milieu d’un mélange de neige et de sang, Bjorn regarda un à un les guerriers qui formaient un cercle autour de lui. Puis, sans une parole, ils s’agenouillèrent devant celui qui avait gagné leur loyauté.
C’est à ce moment qu’il sut, ce serait eux. Bjorn avait trouvé les hommes avec lesquels il se battrait au milieu des futurs carnages qu’il accomplirait avec les autres.
Il reprit sa route, en silence, vers le sud cette fois. Là où se trouvait le point de rendez-vous.
Les barbares le suivirent.
Les photos prochainement!